Attention: ce spectacle est annulé afin d’éviter la propagation du nouveau coronavirus.
Depuis des siècles, les danseurs comptent leur pas jusqu’à 4, 6 ou 8. Et s’ils comptaient jusqu’à l’infini ? Boris Charmatz : « J’ai toujours détesté compter en dansant. Dans cette pièce, nous comptons, parlons et chantons pour danser, mais surtout pour mieux divaguer. » Dans un monde de plus en plus esclave d’algorithmes, Charmatz offre un moment d’infini.