Tout le bien

En 2014, Jan Lauwers rencontre l’ancien soldat d’élite israélien et vétéran de guerre Elik Niv, devenu danseur professionnel après un grave accident et une longue rééducation. Lors de leurs multiples conversations à propos de ses actions militaires et de sa formation de danseur dans le monde largement subventionné de la danse en Allemagne se déroulent les attentats de l’aéroport de Zaventem et de la station de métro Maelbeek.

Tout le bien est un récit autobiographique à double fond : d’une part la vie d’Elik Niv, d’autre part, la vie de Jan Lauwers, Grace Ellen Barkey et leurs enfants dans leur habitation et lieu de travail du quartier maudit de Molenbeek. Aussi bien dans la sécurité chaleureuse de leur foyer que dans le monde extérieur, la mort omniprésente s’impose toujours sans merci. Tout le bien est aussi l’histoire de la jeune Romy, convaincue que le monde est bon. Lors d’un voyage en Chine, elle rencontre Elik alors qu’elle est train de vomir dans une ruelle après avoir bu du sang de serpent. Une rencontre qui va changer sa vie.

Tout le bien traite de deuil et d’espoir. Une histoire d’amour à une époque où l’Europe sacrifie ses valeurs et que toujours plus de gens cèdent à la haine et à l’incompréhension.

All the good is a uniquely beautiful experience, not unlike spending an evening at a long table having dinner with friends old and new. Everyone gets to have their say, no matter how unconventional. —Frankfurter Allgemeine

Exuberant, bewildering but nevertheless delightful. All the good explores the complexity of the world. — Deutschlandfunk

Jan Lauwers doesn't shy away from provocation. All the good is a rich and thought-provoking theatrical experience that tackles the big themes of art and life. — Kulturwelt