Place du Marché 76
Place du marché 76, le récit le plus noir que Jan Lauwers ait écrit à jour, raconte l’histoire d’un village endeuillé par une explosion violente sur la place du marché. La mise en scène insuffle toutefois un souffle vital à ce thème tragique. Needcompany, la troupe toujours débordante de vie, chante et danse et fait ainsi de Place du marché 76 une expérience étourdissante avec des images et de la musique magistrales.
Le spectacle était à l’affiche du Kaaitheater la saison passée, et cet été, on a pu le voir à la Biennale de Venise et au Festival d’Avignon. Libération l’a célébré comme l’un des sommets du festival. Une reprise à ne pas manquer !
« Couleurs joyeuses et tableaux vivants puissants pour mettre en image nos émotions les plus sombres et les canaliser : Lauwers reste un maître en la matière. » – Knack
« Lauwers nous jette sa vision à la tête avec une audace qui fait l’effet d’une bombe à fragmentation et dont on ne sort pas indemne. Le spectacle nous réserve plus d’idées fortes que l’œuvre complète de bien des artistes. Le propre des grands artistes est de ne pas devoir être économe de leur inspiration. Leur source est intarissable. » – De Standaard
« Les morts ont une place et une voix au pays magique de Jan Lauwers. Un lieu au plus profond de l’humain, qui mérite tous les applaudissements. » - Der Standard
« Tout à fait dans la veine d’un théâtre cathartique, Lauwers parvient à célébrer l’humain dans toutes ses contradictions, avec tous ses désirs et ses peurs, mais également avec ses imperfections et ses gouffres les plus profonds. Du théâtre captivant comme l’on en voit rarement. » – Wiener Zeitung
« Un tableau de notre monde absurde peint aux couleurs les plus éclatantes. » – De Morgen
L'une des « pièces précieuses du festival ... Place du marché 76 va assez loin dans la violence, la laideur, le comique, pour que ce ne puisse être que formidable ou raté. Place du Marché 76 n’est pas raté. (…) Ce qu’on voit sur scène, dans l’esprit et dans le ton, c’est exactement ce merveilleux poème de Queneau, les Vivants et les Morts. (…) Une joyeuse danse macabre. » – Libération
« Aventure théâtrale magnifiquement chantée, dansée. » – L’Humanité
« Beau, brillant et on en redemande. » – La Provence
« Peint brillamment l’abondante gammes de nuances associées à des personnages effrayants et pathétiques, généreux et touchants, humains après tout…» – La Gazette
text, directing, set design Jan Lauwers | with Grace Ellen Barkey, Anneke Bonnema, Hans Petter Dahl, Julien Faure, Yumiko Funaya, Benoît Gob, Sung‐Im Her, Romy Louise Lauwers, Emmanuel Schwartz, Maarten Seghers, Catherine Travelletti, Jan Lauwers & Elke Janssens | composers Hans Petter Dahl, Maarten Seghers, Rombout Willems | costumes Lot Lemm | choreographical assistance Misha Downey | dramaturgy, surtitling Elke Janssens | sound Sam Serruys | lights Ken Hioco / Marjolein Demey | production manager Chris Vanneste | puppets constructed by Paul Contryn (de Maan) | dramaturgical introduction Erwin Jans | translation Gregory Ball | traduction Anne Vanderschueren | assistant costumes Lieve Meeussen | singing coach Lucy Grauman | technical manager Marjolein Demey | technique creation Luc Galle (chief) Irmgard Mertens, Klaas Trekker, Elke Van Der Kelen | trainee & assistant direction Camille De Bonhome | trainees production Sophie Lichtenberg, Mafalda Ferraz | photography Maarten Vanden Abeele | production Needcompany (Brussels) | co-production Ruhrtriënnale, Burgtheater (Vienna), Holland Festival (Amsterdam) | support Vlaamse overheid
