La mélancolie des dragons

Hard rock et musique médiévale

Six musiciens de hard rock – longs cheveux gras, T-shirts Metallica – connaissent une panne avec leur vieille Citroën et se retrouvent coincés dans un paysage enneigé. Ils rencontrent la passante fortuite Isabelle et lui montrent, avec un enthousiasme enfantin, leur parc d’attractions mobile, plutôt alternatif.

En 2003, le plasticien et scénographe français Philippe Quesne fonde la compagnie Vivarium Studio. Avec un groupe fixe de comédiens, de plasticiens, de musiciens et un chien, il crée du théâtre d’assemblage. Ils mettent en scène un vivier de l’espèce humaine, des tranches de vie, détaillées et humoristiques. Les sources d’inspiration sont Beckett, Maeterlinck, mais aussi Goya et Dürer. Dans ce spectacle, les comédiens ne s’appuient pas sur le texte ou la psychologie, mais se nourrissent de la musique – en l’occurrence du hard rock et de la musique médiévale. Mais La mélancolie des dragons est avant une pièce sur l’amitié.

‘Un moment de grâce et de plaisir aussi riche et inutile que la vie dont il s’inspire.’
Jean-Marie Wynants (Le Soir)
 
« Le naturel exceptionnel des comédiens, les trouvailles poétiques et l’humour qui ne prend jamais d’accent cynique, fait de La mélancolie des dragons du théâtre désarmant et fort. »
Karlien Van Hoonacker (deredactie.be)

« Un chef-d’œuvre absolu »
Pieter T’Jonck (De Morgen)

« Plus que tout, il règne dans La mélancolie des dragons une vision inédite de l’absurde, à la fois inventive et désopilante. »
Wouter Hillaert (De Standaard)