théâtre

Dans MEMENTO MORI!, la documentariste et plasticienne Els Dietvorst réunit deux textes. Le premier est interprété par Dirk Roofthooft, l’un des acteurs flamands les plus iconiques, le second, par la jeune actrice bruxelloise Aurelie Di Marino. Attendez-vous à une soirée sur la vulnérabilité et la fugacité, mais aussi sur des thèmes universels comme l’individualisation, la mondialisation, la relation entre l’homme et la nature et la migration.

Deux hommes – tous deux en quelque sorte prisonniers – souhaitent se laisser aller une dernière fois. Begin the Beguine est le dernier texte qu’ait écrit le cinéaste culte John Cassavetes. Cette allégorie d’une noirceur absolue sur l’amour et la mort est restée plus de 25 ans au fond d’un tiroir des ayants droit de Cassavetes. Jusqu’à ce que la maison d’édition allemande S. Fischer Verlag a invité Jan Lauwers à assurer la mise en scène de ce chef-d’œuvre.

La série de représentation est, hélas, annulée en raison de la maladie qu’un acteur a contractée.

Pour le centenaire de la Grande Guerre, on ne lésine ni sur les dépenses ni sur les efforts. Que faut-il donc si nécessairement commémorer ? Et surtout pourquoi ? À la faveur de citations de politiciens, marketeurs et reconstituteurs, Thomas Bellinck dévoile les mécanismes derrière le centenaire. Quel est le lien précis entre commémoration, politique, tourisme et big business ?

La saison passée, Tibaldus a présenté au Kaaitheater le spectacle énergique Yvonne, prinses van Bourgondië d’après Witold Gombrowicz. À présent, le collectif met en scène une deuxième pièce de l’auteur polonais. Tibaldus accentue la musicalité de la pièce de Gombrowicz en reliant les motifs textuels à des mélodies de polyphonies flamandes. Une fois de plus, ils nous livrent un regard surprenant sur un répertoire bien à eux !