Mokhallad Rasem réunit depuis vingt ans des notes personnelles : il consigne quotidiennement des images qui lui apparaissent dans ses rêves, des souvenirs qui émergent et des impressions qui s'insinuent dans son imaginaire à partir de la réalité quotidienne. Le tout, et pour la première fois depuis qu'il travaille en Belgique, dans sa langue maternelle, l'arabe.