L'une des conséquences les plus néfastes de la pandémie a été la forte augmentation de la violence domestique dans le monde entier. Dans cette conversation, nous demandons à trois professionnel·les compétent·es dans ce domaine, de nous éclairer sur les réalités de la violence domestique telles qu'elles sont dépeintes dans le performance de Markus Ohrn.
Dans cet atelier de dialogue, nous allons nous plonger dans l'art de la cruauté. L'utilisation de cette dernière et de la violence dans l'art - comme nous le voyons dans Domestic Violence de Markus Ohrn - a une longue histoire consistant à choquer la bourgeoisie et à la sensibiliser. Existe-t-il des moyens appropriés ou non de matraquer le public pour qu'il saisisse le message ?
Un salon blanc au mobilier IKEA : il semble que le lieu soit le terreau d’affreuses douleurs et souffrances. Markus Öhrn explore les parts d’ombre des relations intimes, des schémas et modèles comportementaux et des stéréotypes de genre. Cette production d’une durée de cinq heures, interprétée par deux acteurs et un pianiste, s’appuie sur des statistiques et des procès de violences conjugales.
Hear nous plonge dans un paysage sonore qui explore la force physique du son. Les yeux bandés, les spectateurs sont dispersés dans l’espace où une composition visuelle de sons défie nos sens. Chaque représentation engage une chorale locale de performeurs et se transforme ainsi en pièce sonore unique.
