débat

Dans le cadre de How to Live and Work Now? State Of The Arts (SOTA) à créé un groupe de réflexion sur la sécurité sociale des artistes. Le 27 février, le groupe ouvre grand les portes : on organise une discussion publique (en ligne) et un processus collectif permettant de réunir autant d’opinions et de réflexions que possible sur la réforme du statut d’artiste.

Comment les militant·e·s peuvent-ils/elles rester en mouvement, voire accroître leur impact, sans s’épuiser ? Comment les mouvements citoyens peuvent-ils mieux s’organiser autant en interne que vers l’extérieur ? C’est précisément ce que Wouter Hillaert de Hart boven Hard veut aborder lors d’une discussion avec d’autres militant·e·s, en tant que réflexion partagée de l’intérieur.

Nous invitons des chercheurs, des activists et des artistes à un programme de trois jours pour explorer le sens et le potentiel de la justice dans un monde post-impérialiste par explorer plusieurs espèces. Devons-nous accorder des droits fondamentaux aux animaux et aux formations naturelles - comme les lacs, les mers, les forêts tropicales et le sol? Comment la lutte décoloniale mondiale est-elle liée à la lutte mondiale et locale pour la vie, la sécurité et l'autonomie des animaux non humains?

Pour ses dix ans d’existence, DeWereldMorgen invite des penseurs et des écrivains au Kaaitheater pour réfléchir sur les révoltes qui ont commencé il y a dix ans, et sur le rôle de la solidarité. Des Printemps arabes à Black Lives Matter et aux luttes des peuples autochtones du Canada au Chili en passant par les soulèvements en Grèce, les Indignados et les mouvements Occupy : il est grand temps de porter un regard à la fois rétrospectif et prospectif.

Le groupe de Plant Readers n’est pas un simple groupe de lecture. Pour développer de nouvelles images d’avenir, on s’attaque au cours de ces sessions à la mise en scène de relations queer entre des plantes et leurs alliés humains. Une série de textes éveillera nos sens à de nouvelles manières d’inventer de l’intimité entre plante et humain. Tout cela dans une tentative de faire évoluer l’Anthropocène vers le Planthropocène, comme Natasha Myers le qualifie de manière si frappante.