Pour le spectacle Monique, la chorégraphe Alix Eynaudi s'est inspirée du bondage. Aux côtés de Mark Lorimer, elle met en scène des « techniques de torture douce » : pincer, traîner, tirer, porter… Ils travaillent, ressentent et font semblant de ressentir. Monique est une « machine à image » dans laquelle on ne cesse de se frôler, se toucher et se manipuler avec sollicitude, attention.